... au bout !
Tu me demandes pourquoi toi et je te dis je ne sais pas. Tu insistes
et je te dis que parce que c'est toi. Mais encore, ajoutes-tu ? Et je ne peux
rien dire d'autre que...
parce tu es là même absente ; parce que je te sens tout
au long de mon corps ; parce que tu fais mes pas ; parce que je respire ton souffle
; parce que tu es mon verbe ; parce qu'il y a une chimie, je veux dire de la
magie dans mes yeux lorsque tu viens dans mes rêves la nuit à la même heure ;
bref...
parce que je ne sais pas.
Et au bout, j'entends ton silence et je sais que
j'ai compris que ce que tu as compris et que tu sais désormais beaucoup de cette chose qui se vit sans se dire, tout simplement parce qu'elle est..
là !...
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