Quoi, donc !
Je l'aime bien la belle fleur de mes samedis, frais et pleins de douceur. Elle est candide, ma fleur du samedi. Elle est joyeuse ma fleur du samedi. Elle est bien charmeuse cette fleur et, la matinée bien charmante, en compagnie de la fleur du samedi…
Elle me fascine, quoi !
La fleur du samedi, des petits matins, lorsqu'elle sourit, le soleil cède la place. Ah ! il faut la voir aux aurores du samedi en l'heure d'hiver. Lorsqu'elle étale son sourire en pétale ; lorsqu'elle dérobe sa laine, ciel ! elle vous embaume de sa fraîcheur, elle vous titille le sens dans tous les sens, elle vous fait monter du flux…
Elle vous emporte quoi !
La fleur du samedi, aux petits matins d'un mois d'automne est un jardin à elle toute seule. Il faut voir comment, botter en beauté, le samedi au matin, enrobée comme par la fumée du malboro d'un cow-boy des westerns, elle éclore à ma vue. ...
Elle m'enchante, quoi !
Ma fleur du samedi est une fleur sensuelle. J'adore les instants que, vagant à mes séquences, elle partage avec moi. En cela, elle est singulière sinon magique, la fleur du samedi. Pourtant j'en ai eue et connues de fleurs, mais celle de mes petits samedis est une œuvre…
Quoi encore ?
A ma fleur, je lirai bien ces lignes, quoi !
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