Roger C. Elobo, Mon Blog

Espace d'Analyse, de Critique, d'Humeur, ...de Vie

28 mai 2010

Impuissance

C'est fou !


Ce soir, il y a comme un pouvoir qui te fait revenir à moi, juste au moment où le doute m'étreint, pour me faire remettre en cause les choses qui me semblent acquises…


Malgré moi !


Ce soir encore, comme à bien d'autres occasions, tu me troubles. Ton irruption me trouble. Je te l'avoue. Peut-être sais-tu ce que tu fais. Peut-être sais-tu comment tu le fais. Ce soir, tu viens encore de me plonger dans le doute. Je réalise en définitive que je ne peux rien faire par défaut. Je ne dois rien faire par dépit.


Finalement !...


Je croyais au sortir de cette semaine tourner cette page, notre feuillet ; terminer de cette séquence, notre ballade ; fermer ce livre, notre histoire...


Hélas !


Ce soir, avec la puissance de ta présence, la force tranquille de tes mots, la violence douce de ton charme, tu viens encore d'ébranler mes certitudes.


Je suis vaincu.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Roger,

je suis toujours amoureuse de ton effervescence litteraire. Tu trouves tellement des mots justes et vrais, des phrases enflammantes et enflammées, que n'importe qui trouverait un repos non près de toi, mais de ta plume.

Anonyme a dit…

Aujourdh'ui, alors que je suis profondément troublée, et que je ne sais quel mauvais vent m'a suivi de cette morgue d'hôpital pour ainsi briser ce que les tempêtes les plus folles n'ont pas réussi à briser en presque 4 ans, je me retrouve à parcourir ton blog et trouve ce message que tu m'as adressé le 28 mai dernier...

Je n'en reviens pas de ce qui est arrivé...

Maudit vent oui! maudit mois de juillet, je me souviens m'être dit la matinée du 1er juillet que je ne me rappelle avoir jamais passé un bon mois de juillet.

Maudit appareil photo oui! jamais un appareil photo n'avait causé autant de dégats. Quel importance pouvait-il avoir, si ce n'est que le besoin était suscité par l'envie de faire quelques photos souvenirs de ces deux semaines de vacances que j'attendai avec grande impatience...

Quel gachis oui! Etait-ce écrit que le vendredi 16 juillet, je coulerai doublement des larmes? En plus de perdre un collègue et ami, devais-je également provoquer un cataclysme, à un mois jour pour jour de ce que nous attendons depuis des années...

Un véritable gachis oui! Il est peût-être déjà trop tard pour dire pardon, pour dire que l'on regrette, mais, de grâce accordons nous cette chance de pouvoir se dire aurevoir de vive voix...

Trois ans et demi, ça mérite bien une meilleure fin, qu'en penses-tu?

Les mots certes ont été blessants,
des décisions certes ont été prises et doivent être respectées, seulement n'y a t-il pas lieu de revoir calmement les évènements?

De grâce.

AD